La sirène et le pendule
Attirance et esthétique en traduction littéraire
Essai
Traduire, c’est d’abord être attiré, propose Louis Jolicœur. Tel un voyageur répondant à l’appel de quelque sirène lointaine, le traducteur, lecteur avant tout, cède à la séduction du texte, sollicité par les creux qu’il y décèle. Par le transfert troublant de la traduction, il s’approprie les mots et images de l’auteur pour reproduire l’effet à l’origine de cette attirance, oscillant entre les écueils que sont la fidélité et l’adaptation, la littéralité et la littérarité.
1995 | 174 pages | ISBN: 2-921197-58-8
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