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La sirène et le pendule

Attirance et esthétique en traduction littéraire
Essai

Traduire, c’est d’abord être attiré, propose Louis Jolicœur. Tel un voyageur répondant à l’appel de quelque sirène lointaine, le traducteur, lecteur avant tout, cède à la séduction du texte, sollicité par les creux qu’il y décèle. Par le transfert troublant de la traduction, il s’approprie les mots et images de l’auteur pour reproduire l’effet à l’origine de cette attirance, oscillant entre les écueils que sont la fidélité et l’adaptation, la littéralité et la littérarité.

1995 | 174 pages | ISBN: 2-921197-58-8
21.95 $

On en parle

La sirène et le pendule est un essai dense et soutenu sur un sujet et dans un style que d’aucuns jugeront très sérieux, voire universitaire. J’y ai vu un exercice courageux de réflexion sur une des activités intellectuelles les plus nobles, exigeantes et nécessaires qui soient.

- Robert Saletti (Le Devoir)