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« Tout ça est plutôt décoiffant. »

19 novembre 2014

« Tout ça est plutôt décoiffant. C’est du théâtre absolument inclassable que j’ai plutôt aimé d’ailleurs tout en ignorant par quel bout saisir cet étrange objet. C’est joué avec un enthousiasme débordant et je vous dirais que si vous voulez voir quelque chose que vous n’avez jamais vu, et bien voilà, c’est Damnatio memoriae, sans aucun doute qui va vous combler. » (Marie-Claire Girard, Le Huffington Post.)
« Une telle épopée aurait pu être casse-cou, mais l’intelligence du texte, l’énergie de la mise en scène et la solide distribution font que ça fonctionne. » (Andréanne Chevalier, Journal Métro.)
« Et il y a une écriture, fiévreuse, intransigeante, cruellement ludique, qui s’empare de l’actuel pour dénoncer une époque qui semble avoir perdu ses repères. Car il semblerait que pour mieux saisir la déchéance d’aujourd’hui, il faille retourner au passé, comme s’il s’agissait d’un cycle humain, d’une histoire qui ne cesse de se répéter de siècle en siècle. C’est la plume acerbe de Sébastien Dodge, tout d’abord comédien, mais aussi metteur en scène (La Guerre, La Genèse de la rage), qui refuse le français classique pour un accent actuel québécois, pour mieux identifier le moment, pour s’agripper au temps présent. » (Élie Castel, Séquences.)
Damnatio memoriæ est à l’affiche du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui jusqu’au 30 novembre dans une mise en scène de l’auteur, Sébastien Dodge, par le Théâtre de la Banquette arrière, en codiffusion avec le Centre du Théâtre d’Aujourd’hui. Distribution : Amélie Bonenfant, Sophie Cadieux, Mathieu Gosselin, Renaud Lacelle-Bourdon, Anne-Marie Levasseur, Jean-Moïse Martin, Lise Martin, Éric Paulhus et Simon Rousseau.