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Noirs horizons de Gastón Sironi

11 février 2013

« Malgré le portrait assez sinistre que dresse l’écrivain argentin de ses semblables, les nouvelles de Noirs horizons sont teintées d’une étrange beauté, un peu à l’image des tableaux d’Edvard Munch. Entre l’ondulation de la mort et de la douleur, de la lumière et de l’ombre, il y a malgré tout la vie, à laquelle s’attache le langage pour en tirer un sens ou une musique, et ce, au cœur même d’une noirceur qui perdure, comme si le noir était une couleur. » (Suzanne Giguère, Le Devoir)