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La nuit des morts-vivants

21 octobre 2011

« Les romanciers pouvant passer du subjonctif imparfait au joual ou citer Schopenhauer et Hannah Montana dans la même page sont des oiseaux rares. François Blais est de ceux-là. Il pratique ce qu’il appelle le « métissage de tons », et il le fait avec intelligence et brio… François Blais a écrit un roman résolument rivé sur son époque, dont il a su dégager l’improbable poésie. La monotonie n’a jamais été aussi trépidante. » (Patrick Bergeron, Nuit blanche)