Il faut me prendre aux maux / En librairie le 6 avril 2010
Tondre le gazon, céder à l’appel irrésistible de la terre, déjouer une espionne tchèque ou la « diablerie scélérate » que monte contre lui un collègue universitaire facétieux, tendre à l’inexistence, devoir raconter à la radio les cinq minutes les plus intenses qu’on ait vécues, soutenir une thèse au Minnesota : il faut prendre le plus littéraire de nos géographes aux maux. Le titre de son nouvel ouvrage en donne le ton : Luc Bureau se livre à une série de récits dans lesquels il s’amuse de ses déconvenues et de celles de notre époque. Chaque récit est précédé d’une définition (« mirage », « zizanie », « conspiration », « étourderie », « ignorance », etc.) nourrie à cet esprit encyclopédique du géographe latiniste qui s’amuse.
Récits, 180 pages, 22 $, ISBN 978-2-89502-276-3