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i2 (i carré) de Gilles Pellerin

16 novembre 2012

« Des histoires drôles, douces-amères, grinçantes, étonnantes, un brin surréaliste … Un délice, qui nous change de la littérature fast-food qu’on nous sert trop souvent. » (Josée Lapointe, La Presse)
« … on retiendra de Pellerin qu’il maîtrise, outre l’art du mot juste et de la formulation simple, celui de l’économie, de la justesse et, à l’occasion, de l’utilisation toujours à propos d’un bon vieux québécisme. On en veut d’autres. » (Louis Émond, Entre les lignes)
« Et pourquoi, dans une histoire, devrait-il à tout prix se passer quelque chose ? On peut aussi essayer d’épingler l’inquiétude et le décentrement. Saisir cette seconde d’affolante lucidité quand l’œil exprime la compréhension – ou, à l’inverse, une incompréhension absolue et terrifiante. L’auteur de Ni le lieu ni l’heure et de Je reviens avec la nuit l’a bien compris. On peut très bien s’arrêter à cet instant décisif et furtif où quelque chose, justement, ne se passe pas. » (Christian Desmeules, Le Devoir)