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Échardes

23 juin 2014

« Parlons des nouvelles de Hans-Jürgen Greif, Échardes. Quarante-quatre textes brefs, incisifs. Lucides, au style acéré. Divisés en cinq parties. Autant d’images qui ne sont pas sans rappeler la précision avec laquelle un film se déroule, film de la vie dans ce cas-ci… On ne les titre pas individuellement, on se souvient, on se délecte de leur ensemble. Elles réjouissent ou effraient. Font sourire ou attristent… À lire, pour se faire une idée de ce que nous sommes. (Dominique Blondeau, Ma page littéraire.)