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Ma laideur n’influence personne

Roman

Avec Ma laideur n’influence personne, Ariane Michaud lance, avec humour et acuité, des réflexions sur le corps des femmes, l’adolescence, la beauté et l’influence des médias sociaux. Chaque texte de cette autofiction anatomique étant consacré à une partie du corps, on peut toutes et tous s’y retrouver, en admirant le courage de l’autrice et en éprouvant une immense tendresse pour la jeune fille qu’elle a été et, du même souffle, pour les ados que nous avons été, nous aussi.

Pour écouter Ariane Michaud nous parler de Ma laideur n’influence personne.

Je ne saurais vous décrire avec justesse l’absence totale de muscles dans mes bras. Je pense qu’on peut parler de « filament » musculaire pour expliquer le mince tissu qui permet la flexion de mon avant-bras. Si je donnais mon corps à la science et qu’on me disséquait, le docteur Frankenstein se demanderait probablement comment un être humain peut vaquer à des occupations simples sans pouvoir compter sur une force minimale aux membres supérieurs. Je ne serais pas surprise qu’on y retrouve aussi un réseau complexe de muscles dans des endroits inusités, tant mon corps doit compenser pour cette lacune par des contractions non ergonomiques. Il suffit de me voir pousser une porte en donnant un coup de hanche ou déposer une boîte lourde sur mon ventre pour comprendre que je vais finir ma vie en chaise roulante.

2024 | 80 pages | ISBN: 978-2-89502-480-4
15,95 $
2024 | pages | ISBN: 978-2-89502-591-7
11,99 $
2024 | pages | ISBN: 978-2-89502-590-0
11,99 $

On en parle

L’autrice se dévoile sans filtre dans Ma laideur n’influence personne, avec une généreuse dose d’autodérision et une rafraîchissante liberté. En résulte un joyeux réquisitoire contre les diktats de la beauté qui se trouvent aujourd’hui exacerbés par l’omniprésence des réseaux sociaux. À lire d’une traite pour évacuer ses complexes et célébrer son unicité!

- Cassandre Sioui (Les libraires)

C’est avec une touche d’humour que l’auteure s’attaque à certaines parties du corps de la femme. Ma laideur n’influence personne est une autofiction dans laquelle plusieurs femmes reconnaîtront leur propre histoire d’adolescence. On salue la justesse et le courage de l’auteure.

- Kelly-Ann Neeley (Coup de pouce)

Les jeunes et les moins jeunes auraient intérêt à lire le livre d’Ariane Michaud, car la perception de notre image est souvent plus négative que ce qu’on projette réellement.

- Éric Gagnon (Info-réveil | Radio-Canada Ohdio)

Cette « autofiction anatomique » en 80 pages bien tassées, tout en intelligence et en humour, est un foisonnement de lucidité avec un sens de l’autodérision bien assumé, où chaque chapitre s’attarde à une partie du corps à apprivoiser.

- Les Libraires

Il y a dans le texte plein d’humour saupoudré ici et là.

- Libraire de force | CIBL 101.5

Véritable ode à la diversité des corps et à l’acceptation de soi, Ma laideur n’influence personne fait un joli pied de nez aux diktats de la beauté.

- Matthieu Dessureault (ULaval nouvelles )

C’est à mettre entre les mains de certains jeunes qui prennent un peu trop au sérieux leur enveloppe corporelle.

- Venise Landry (Cochaux show)

J’ai eu envie de dire à voix haute : mais donnez ce livre aux adolescentes ! Ça réglerait quelques petits noeuds de miroir de soi.
J’ai adorée. Oui oui.

- Natasha Collin (@leslecturesde.renarde)

Armée de son sens de l’autodérision et de sa belle plume, elle nous raconte ces petits et grands moments qui l’ont menée vers l’acceptation de son anatomie.

- Krystel (@petites_et_grandes_lectures)

Un livre qui aborde un sujet important tout en étant teinté d’humour et d’auto-dérision. J’ai adoré l’écriture de l’autrice et ses différentes anecdotes. Un cours livre qui touche en profondeur. Je vous souhaite de le découvrir!!

- @booksandcappuccino

Du début à la fin de ma lecture, une seule pensée subsistait : toutes les femmes devraient lire cette oeuvre!

- Meg Therrien (@meg.bouquine)

Les anecdotes qu’elle nous raconte sont parsemées d’humour et bienveillante mais on ressent tout de même pointe de tristesse pour la jeune fille et la femme qu’elle a été.

- @pourcoeurlitteraire

L’auteur nous raconte ses complexes avec une autodérision désopilante.

- Marie-Pierre (@m.ta.lecture)

Sans morale, sans culpabilité, chaque chapitre regorge d’anecdotes et de mots d’humour qui permettent d’alléger le sujet. Autre point à ne pas négliger, l’auteure a une plume des plus agréables à lire. Bref, une magnifique découverte que je recommande assurément!

- Sophie (@rage_de_lire)

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Clairement un livre que je laisserais disponible dans une étagère de lecture libre dans ma classe… si j’en avais une.

- Samuel Fillion Doiron (@geekseignant)

Je vous recommande chaleureusement cette autofiction anatomique. Vous ne manquerez pas de vous y retrouver et de rire un bon coup.

- @Juste.des.livres

Je recommande à tous ce petit livre. J’ai passé un excellent moment de lecture, j’ai souri, j’ai ri, j’ai compati pour l’enfant/ado qu’était Ariane💕.

- @plumette.et.litterature

Avec une touche d’humour, l’autrice livre généreusement ses questionnements. (…) Le style d’écriture de l’autrice contribue aussi à la réussite de l’œuvre.

- Marika (@evasionlitteraire)

C’est écrit avec beaucoup d’humour, c’est ce qui m’a le plus accroché pendant ma lecture je pense. Ses comparaisons sont parfois trashs, mais tellement parfaites ! C’était un vrai régal cette petite plaquette, je vous conseille tellement cette lecture !!

- @ivresse.litteraire