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Ma mère et Gainsbourg

Récit

Quand on perd sa mère, tout disparaît, à commencer par l’inflexion particulière de la voix disant « maman » autrement que dans son absence, appelant « maman ! » dans le dénuement de la petite fille que l’on a été et que l’on reste à jamais. Le fait d’être au mitan de sa vie n’atténue pas la perte. Il faut recomposer un monde dont maman sera dorénavant absente. Si la littérature donne du sens à ce qui en apparence en paraît dépourvu – la mort –, l’écriture de Diane-Monique Daviau, belle de pudeur, y ajoute la lumière.

1999 | 184 pages | ISBN: 2-89502-124-4
19.95 $

Prix littéraires

On en parle

Pour dire cette blessure commune à bien des femmes, Diane-Monique Daviau a trouvé des mots justes et émouvants. De son récit, on ressort convaincue que la mort de la mère est l’une des expériences les plus troublantes qui soient.

- Francine Bordeleau (La Gazette des femmes)